Mes mains errent le long de ses pages
Sur le ciel bleu de son esprit tel un mage,
Cherchant la gloire sur l’échiquier de ses mots,
Voyageant dans les songes sombres de ses rêves;
Effleurant le palais de ses pensées
Dans l’ombre du bouquet de ses mains
D’une nature en fête.
A l’heure où blanchissent les campagnes
Sur le sol de sa peau qui se dénude,
Je m’abreuverai dans l’encre vive de sa plume,
Dans le bois de ses feuillages qui la parfume ;
Caressant les reflets argentés de ses cieux
Sur les fleuves nuancés du sillon de ses yeux,
Parcourant les plaines et les forêts de ses vallons.
Dans l’ombre des pierres recouvertes par ses flocons,
Je contemplerai les larmes cristallines
S’évaporant le long de ses joues opalines,
A la recherche de sa clémence,
Attendant le sourire de l’aurore
Sur l’azur des champs en or,
Où s’endort le printemps épuisé par les plaisirs
Promettant le trésor des jours sur le désir,
Sur les flots éclos des bourgeons
Dans l’éternel baiser de deux âmes
Coulant dans le cri des ruisseaux
Dans le sanctuaire des eaux
Guettant les frissons du vent,
Dans l’ombre étrange du voile des étoiles
« Sur un Je t’aime »
L.Deléglise
Sur le ciel bleu de son esprit tel un mage,
Cherchant la gloire sur l’échiquier de ses mots,
Voyageant dans les songes sombres de ses rêves;
Effleurant le palais de ses pensées
Dans l’ombre du bouquet de ses mains
D’une nature en fête.
A l’heure où blanchissent les campagnes
Sur le sol de sa peau qui se dénude,
Je m’abreuverai dans l’encre vive de sa plume,
Dans le bois de ses feuillages qui la parfume ;
Caressant les reflets argentés de ses cieux
Sur les fleuves nuancés du sillon de ses yeux,
Parcourant les plaines et les forêts de ses vallons.
Dans l’ombre des pierres recouvertes par ses flocons,
Je contemplerai les larmes cristallines
S’évaporant le long de ses joues opalines,
A la recherche de sa clémence,
Attendant le sourire de l’aurore
Sur l’azur des champs en or,
Où s’endort le printemps épuisé par les plaisirs
Promettant le trésor des jours sur le désir,
Sur les flots éclos des bourgeons
Dans l’éternel baiser de deux âmes
Coulant dans le cri des ruisseaux
Dans le sanctuaire des eaux
Guettant les frissons du vent,
Dans l’ombre étrange du voile des étoiles
« Sur un Je t’aime »
L.Deléglise
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