Tous ces cris dans ma tête,
toute cette rage comme tu bête;
J'en ai marre faut que ça cesse,
j'en ai marre et pourtant j'encaisse.
Mes larmes ne cessent de couler,
mon corps va se vider;
Ne rien dire pour souffrir,
trop en dire et ne pas guérir.
Tu ne me regardes même plus,
ton regard s'est perdu...
Tu as dû voir en moi
tous ce qu'il y avait pour toi...
La distance, la souffrance;
Trop laisser paraître pour disparaître.
Je rêve parfois de m'évader,
de me faire écraser;
Peut être pas pour partir,
mais pour mieux revenir,
pour ne plus souffrir et enfin guérir.
Je rêve parfois des roues de la voiture,
qui me passe dessus et me torturent;
De mon corps enfoncé dans le pare-brise,
je les entend parler mais mon corps vacille;
J'ai mal et mon sang coule,
tu me tiens la tête et t'as les boules.
Tu es là, tu me vois,
tu me tiens mais en vain.
Je te regarde dans les yeux,
j'essayes de te faire un dernier adieu ...
Tu me dis de me battre,
de ne pas me laisser abattre.
Dans un dernier effort,
j'essayes d'être plus forte que mon corps ;
Mais les bouts de verre transpercent ma peau ensanglantée
et laissent paraître mon sang infecté.
Je suis étalée comme pour morte,
et toi tu me portes.
Soudain je vois mon corps apparaître,
mon âme s'est séparée de mon être;
tu essayes de me réveiller,
mais mon cœur s'est arrêté,
mon cœur ne bat plus,
je ne respire plus...
Enfin la paix,
enfin je peux souffler;
L'au delà m'appelle,
je te retrouverais,
je serais encore plus belle,
dans quelques années.
*MD*
toute cette rage comme tu bête;
J'en ai marre faut que ça cesse,
j'en ai marre et pourtant j'encaisse.
Mes larmes ne cessent de couler,
mon corps va se vider;
Ne rien dire pour souffrir,
trop en dire et ne pas guérir.
Tu ne me regardes même plus,
ton regard s'est perdu...
Tu as dû voir en moi
tous ce qu'il y avait pour toi...
La distance, la souffrance;
Trop laisser paraître pour disparaître.
Je rêve parfois de m'évader,
de me faire écraser;
Peut être pas pour partir,
mais pour mieux revenir,
pour ne plus souffrir et enfin guérir.
Je rêve parfois des roues de la voiture,
qui me passe dessus et me torturent;
De mon corps enfoncé dans le pare-brise,
je les entend parler mais mon corps vacille;
J'ai mal et mon sang coule,
tu me tiens la tête et t'as les boules.
Tu es là, tu me vois,
tu me tiens mais en vain.
Je te regarde dans les yeux,
j'essayes de te faire un dernier adieu ...
Tu me dis de me battre,
de ne pas me laisser abattre.
Dans un dernier effort,
j'essayes d'être plus forte que mon corps ;
Mais les bouts de verre transpercent ma peau ensanglantée
et laissent paraître mon sang infecté.
Je suis étalée comme pour morte,
et toi tu me portes.
Soudain je vois mon corps apparaître,
mon âme s'est séparée de mon être;
tu essayes de me réveiller,
mais mon cœur s'est arrêté,
mon cœur ne bat plus,
je ne respire plus...
Enfin la paix,
enfin je peux souffler;
L'au delà m'appelle,
je te retrouverais,
je serais encore plus belle,
dans quelques années.
*MD*
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