A cent !
D’après A vent de Lilalys
Drague en mon refrain et franchissant en diable,
D’abus, levant en désordre pour faits plus savoureux.
Belle note sous mon soleil, hommage vigoureux !
Petits râteaux copiés en ta cours, indispensable.
Nul comme un malabar sous ma douche pétulant,
Carambars, mistral gagnants ou sucettes en folies,
Friandise et pompon, suis-je bien poli ?
Mes plaisirs sont des francs souvenirs : Eclatant !
Le cas s’y mire tous les soirs en douce comédie,
Coq gaulois, rebonds des vers, dispose, chantant,
Sur ton coin de terre aux arômes distants,
Ho ! Lola, jouvencelle, tu louais mes parodies.
Serpentant au destin, l'histoire de nos temps,
Sur tes pages, fleurir les beaux reflets du cancre,
De fendre tes souvenirs m’apaise attaché à ton ancre,
Sourires pour un ciel bleu et en faire ton roman.
D’après A vent de Lilalys
Drague en mon refrain et franchissant en diable,
D’abus, levant en désordre pour faits plus savoureux.
Belle note sous mon soleil, hommage vigoureux !
Petits râteaux copiés en ta cours, indispensable.
Nul comme un malabar sous ma douche pétulant,
Carambars, mistral gagnants ou sucettes en folies,
Friandise et pompon, suis-je bien poli ?
Mes plaisirs sont des francs souvenirs : Eclatant !
Le cas s’y mire tous les soirs en douce comédie,
Coq gaulois, rebonds des vers, dispose, chantant,
Sur ton coin de terre aux arômes distants,
Ho ! Lola, jouvencelle, tu louais mes parodies.
Serpentant au destin, l'histoire de nos temps,
Sur tes pages, fleurir les beaux reflets du cancre,
De fendre tes souvenirs m’apaise attaché à ton ancre,
Sourires pour un ciel bleu et en faire ton roman.